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« T’es une grande fille, tu vas bientôt commencer l’école ! », « Tu te réjouis d’aller apprendre plein de choses à l’école
? », « Il faudra être sage et bien écouter à l’école ! », « Tu vas bientôt apprendre à lire et à compter. » STOP, STOP, STOP Pour les futurs écoliers qui commenceront la 1H en août, il y a encore entre 18 et 19 semaines (suivant les cantons) avant le
début de l’école ! Pour eux, c’est à des années-lumière. Notre réalité d’adulte par rapport au temps peut
générer passablement de stress, d’anxiété et/ou de frustration chez les enfants. C’est un phénomène que je constate chaque année à cette période. L’impatience, l’excitation,
l’appréhension, la crainte se confrontent et peuvent rendre les enfants plus sensibles, plus irritables, plus tendus, à fleur-de-peau… Chez quelques-uns, il y a même une régression dans leur comportement, c’est
leur façon d’exprimer leur méli-mélo émotionnel. Certains vivent mal et ressentent beaucoup de pression pour quelque chose qui va arriver dans plusieurs mois et qui est encore abstrait. S’il est important et nécessaire
de les préparer à l’école, soyons vigilants à ne pas trop en faire. Un point qui ressort régulièrement en séance : c’est
souvent l’entourage (famille, amis…) qui ‘’bassine’’ l’enfant avec ces réflexions et ses questions. Avec douceur et diplomatie, n’hésitez pas à leur dire de moins parler de la future rentrée
scolaire ;-) pour le bien de l’enfant. Imaginez, vous commencez un nouveau travail en août, est-ce que ça ne vous agacerait pas un peu (ou même beaucoup)
qu’on vous demande systématiquement : « Alors, t’es contente de commencer un nouveau job ? Tu te réjouis ? »… Pour l’enfant
« Hier et demain n’existent que maintenant » Article FACEBOOK
de Espace
Maman Enfant
° 11 ASTUCES POUR QUE LES ENFANTS COOPERENT (Papapositive.fr)
PARENTALITÉ POSITIVE : 11 ASTUCES POUR QUE LES ENFANTS
COOPÈRENT Jeff | septembre 7, 2018 | Parentalité |
Je vous invite à découvrir
11 conseils efficaces pour que les enfants collaborent avec nous. 1° UN ENFANT N’ÉCOUTERA PAS TANT QU’IL N’AURA PAS ÉTÉ ÉCOUTÉ Si nous écoutons et reconnaissons sans juger ce que l’enfant ressent, ce dont
il a besoin et ce qu’il essaye de faire, nous l’apaisons. Il est alors prêt à nous accorder son attention, à écouter et à appendre. Pour cela, mettez-vous à son niveau,
regardez-le, écoutez-le, reformulez simplement ce que vous avez entendu, poser des mots sur qu’il ressent,…connectez-vous avec bienveillance. 2° DONNEZ LUI UNE AUTRE ACTIVITÉ
Au lieu de déchirer les
livres auxquels vous tenez, un enfant peut très bien déchirer des journaux ou d’anciens magazines que vous lui donnez ! Idem s’il jette des pierres, proposez-lui de lancer une balle en mousse et d’essayer de faire tomber des quilles en plastique. L’expérience
sera presque identique. Il est possible de trouver des activités équivalentes pour satisfaire le besoin d’exploration des enfants et favoriser leur développement (psychologique, moteur,…).
3° DITES, MONTREZ ET AFFICHEZ CE QUE VOUS VOULEZ (ET NON CE QUE VOUS NE VOULEZ PAS)
Le cerveau de l’enfant ne sait pas gérer les négations, il les transforme en affirmations ! Dans la phrase « Ne cours pas »
il comprendra donc « Cours ». « Marche doucement » ou « Marche à côté de moi » est une consigne limpide et plus simple à appliquer.
Autre moyen : dessiner. Le cerveau
préfère les images aux mots. Alors dessinez ce que vous attendez et affichez ces panneaux. Une fois que vous avez plusieurs consignes claires et génériques, transformez-les en règles de vie
de la maison et présentez cela dans un tableau exposé en bonne place et valable pour tous. 4° DITES « STOP » AU LIEU DE « NON » « Stop » est un mot efficace pour arrêter
un geste. Mieux que « non » qui ne pointe pas un comportement et peut créer de la confusion avec d’autres contextes où il est utilisé. 5° APPRENEZ-LUI À RÉPARER (AU LIEU DE LE PUNIR) Montrer très tôt à un enfant qu’il peut réparer les conséquences
de ses actes est formateur. Un verre s’est renversé ? Expliquez-lui comment éponger l’eau et occupez-vous de ramasser le verre . Ce travail d’équipe a aussi de grandes vertus éducatives. 6°
DÉCRIVEZ-LUI SON EMPLOI DU TEMPS Beaucoup d’enfants stressent naturellement et encore plus quand ils vivent des changements brusques. On peut les préparer mentalement à ces changements en leur présentant leur emploi du temps et en
les aidant à imaginer leurs futures expériences. 7° PROPOSEZ-LUI DES CHOIX Les choix sont responsabilisants et engageants. Ils agissent aussi directement au niveau du cerveau. »Tu préfères prendre ce chemin ou ce chemin »
« Que choisis-tu entre le pantalon bleu ou vert ? » 8° EVITEZ LES ÉTIQUETTES Lorsqu’on dit « Tu es maladroit/idiot/un petit monstre… », l’étiquette devient peu à peu la personnalité
de l’enfant. Et il a bien du mal à s’en défaire. Donc évitons les étiquettes et les jugements. Concentrons-nous sur les comportements et les émotions en laissant un espoir constant de progresser. C’est
la base de l’apprentissage et de l’estime de soi. 9° EXPRIMEZ VOS ÉMOTIONS (SANS ACCUSER). IL VOUS IMITERA. « Je ressens de la colère quand je vois le linge propre au sol. J’ai besoin d’ordre. Peux-tu le ranger s’il-te-plait ? » Cette façon de s’exprimer est inspiré de la Communication NonViolente. Elle fait le lien entre les émotions, les besoins et les demandes. Plus l’enfant entendra ce type de phrase, plus il l’utilisera
aussi, prenant conscience de ce qui se passe en lui. Cette approche est propice aux dialogues constructifs. 10° MONTREZ L’EXEMPLE Quoi que vous attendiez de votre enfant, montrez-lui la voie. N’exigez pas qu’il ne crie pas si vous criez sur lui
par exemple. Idem pour votre façon de parler ou encore de réguler vos émotions. Les enfants copient/collent le comportement de leurs parents. 11° DITES-LUI SOUVENT « JE T’AIME » L’amour inconditionnel apaise les enfants, les sécurise et les rend disponible pour interagir avec nous. Alors, ne
lésinons pas sur les câlins et les « je t’aime » À lire « Poser des limites à son enfant » de Catherine Dumonteil-Kremer
° Dépêche-toi !
« Dépêche-toi »
est une injonction qui stresse et peut bloquer les enfants (sécrétion de cortisol qui envahit le cerveau). Notons aussi que « dépêche-toi » est une formule qui nous poursuit dans la vie, comme une petite voix qui déclenche régulièrement
des poussées d’anxiété. Heureusement, il est possible de la remplacer par des alternatives ludiques et bienveillantes. En voici 4 en BD :
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Santé et hygiène / Système immunitaire et infections Jouer
dehors, bon ou mauvais pour les infections? La belle saison blanche est arrivée et les enfants sont tous habillés comme des ognons et s’amusent
gaiment. Depuis toujours, on entend dire : « Habille-toi, tu vas attraper un rhume! » ou encore « Tu vas attraper froid! ». Plusieurs parents vont même
jusqu’à vous demander de ne pas sortir à l’extérieur pour éviter que l’enfant attrape une infection! C’est donc important, aujourd’hui, de faire le point sur la question. L'AIR PUR, UN PLUS POUR L'ENFANT Qu’on le veuille ou non, la qualité de l’air intérieur
est souvent de moindre qualité que celui de l’extérieur. Nos maisons et bâtiments étant de plus en plus étanches, les produits chimiques provenant de plusieurs sources différentes s’y accumulent plus facilement.
Il est donc important d’aller à l’extérieur afin de faire le plein d’air frais. L’air pur oxygène l’organisme qui en retire plusieurs bienfaits. DE L'ESPACE POUR JOUER À l’extérieur, les enfants ont plus d’espace pour bouger et, normalement, c’est moins
bruyant qu’à l’intérieur, les sons n’étant pas confinés dans de petites pièces. C’est aussi l’occasion de sortir son fou et l’énergie accumulée et retenue. On peut courir
et sauter, ce qu’on ne peut pas faire à l’intérieur. Donc, jouer dehors diminue le stress que ressent l’enfant, donc on agit positivement sur son système immunitaire et plus on bouge, moins on a de risque de devenir enveloppé…
LA LUMIÈRE, SOURCE DE VITALITE À l’extérieur,
le soleil produit beaucoup de lumière. La lumière affecte positivement notre humeur et notre chimie intérieure. Un enfant de meilleure humeur aura un système immunitaire plus fort. LES GERMES SONT TRANQUILLES AU FROID Du point de vue des microbes, l’enfant a moins de risque de contracter une infection dehors qu’à l’intérieur. Les germes des infections respiratoires survivent moins longtemps sur
les surfaces à l’extérieur, sous zéro, qu’à l’intérieur, à la température de la pièce. Dehors, les enfants courent, ils sont dans un espace plus grand, il y a donc moins de contacts
étroits qui favoriseraient la transmission des germes. Il y a moins de chances aussi que les gouttelettes d’éternuement stagnent dans l’air puisque celles-ci y sont toujours en mouvement. NathalieThibault B.Sc. M.Sc. Consultante en prévention des infections Propriétaire de
Germaction
° POURQUOI LES ECRANS ONT-ILS UN IMPACT NEGATIF DANS LE DEVELOPPEMENT DES ENFANTS?
Pourquoi les écrans ont-ils un impact négatif dans le développement des enfants9 Minutes de lecture 9 mai 2018 Jean-Baptiste Non classé
Le constat dans notre société actuelle Les écrans sont déjà très
présents dans notre quotidien. Les familles sont de plus en plus équipées; Désormais chaque membre du foyer possède un smartphone, un ordinateur portable, une tablette, une ou plusieurs télévisions. Les adultes
et les adolescents passent de plus en plus de temps sur leurs écrans ce qui limite considérablement les échanges et les interactions entre membres de la famille ou entre amis. Selon les études, chez les jeunes enfants de 12/17 ans,
c’est en moyenne 17h par semaine 1. Chez les 18/24 ans, on passe à 27h par semaine 2.
C’est une moyenne, ce qui signifie que certains y passent moins de 4 heures par jour, mais que d’autres y passent plus de 7 heures par jour ! La télévision est allumée souvent du matin au soir. L’offre est de
plus en plus importante avec des chaines de plus en plus nombreuses pour capter le public un maximum de temps. Le but de tous ces écrans est de vous voler du temps … Plus l’on passe de temps devant la télévision,
plus l’on est susceptible de regarder la publicité et donc de consommer. Plus l’on passe de temps sur smartphone ou tablette, plus l’on nous propose des produits susceptibles de nous intéresser puisque nos informations sont
vendues aux annonceurs. Si certains individus prennent conscience de cette évolution de mode de vie et essayent d’y remédier ou de se réguler, il existe une population beaucoup plus fragile que les autres devant ce phénomène:
les enfants. Ils sont désormais scotchés devant les écrans plusieurs heures par jour et ce temps ne cesse d’augmenter. Incapables de se modérer, en plein développement psychomoteur, ils subissent de plein
fouet cette évolution de notre société. Les conséquences sont nombreuses : Retards de développement, difficultés scolaires, troubles des relations sociales et encore bien d’autres symptômes similaires
aux troubles autistiques… Pourquoi trop de temps passé devant les écrans est-il néfaste ? Des témoignages abondent dans ce sens Le
docteur Sylvie Chokron – Neuropsychologue Selon ce médecin, il existe plusieurs problèmes. D’abord sur le plan visuel avec un risque de myopie augmenté (Le temps passé devant les écrans est un temps
où l’on n’exerce plus sa vision de loin) et un champ visuel restreint (On prend l’habitude de regarder de tout petits espaces visuels). Ensuite sur le plan attentionnel, cela rend les choses beaucoup plus difficiles quand
il faut se concentrer et rester attentif. Et enfin sur le plan du sommeil, puisque la lumière bleue des écrans a un impact sur la sécrétion de mélatonine (hormone du cycle du sommeil) et perturbe le sommeil en provoquant
des troubles de l’endormissement. Le docteur Anne Lise Ducanda – Médecin généraliste Sur les 5 dernières années, ce médecin été particulièrement
attentive aux enfants, de leur naissance à leur 4 ans, et le résultat est sans appel. Les enfants de 3/4 ans en grande difficultés scolaire sont quasiment tous exposés aux écrans plusieurs heures par jour. Et le nombre
d’enfants touchés a été multiplié par 6 en 15 ans. Elle décrit des enfants dans leur bulle, indifférents aux autres enfants ou à leur environnement; Des enfants ne répondant pas à leur
prénom, ne regardant pas leurs parents dans les yeux, incapables de répondre à une consigne simple, qui ne comprennent pas ce qu’on leur dit ; des enfants agités, parfois agressifs, intolérants à toute frustration.
A
9 mois, l’enfant réagit à son prénom normalement. A 18 mois, il doit être capable de parler et à 2 ans et demi de faire des phrases. Vous pouvez observer si votre enfant joue? S’il répond à
son prénom? S’il vous regarde quand vous lui parlez ? S’il peut répondre à une consigne simple ? Sur le plan médical, on parle de trouble du spectre autistique quand l’enfant répond à
la triade suivante : Trouble de la communication + Troubles des relations sociales + stéréotypie (Enfant qui reproduit toujours les mêmes choses) Pourquoi cette addiction aux écrans Que se passe-t-il dans le cerveau des enfants ? Des expériences basées sur des imageries cérébrales ont prouvé
que la partie frontale du cerveau rétrécie lorsque l’on passe trop de temps devant un écran. C’est un cercle vicieux, car plus cette zone diminue en taille, plus l’individu perd ses capacités de logique et de jugement.
Il devient alors encore plus dépendant. L’étude la plus parlante a été réalisée par les chinois; 15 enfants souffrant d’addiction à internet ont passé un scanner cérébral.
- La circulation des fluides était altérée
- Certaines régions du cerveau étaient rétrécies avec des défauts de communication cérébrale, provoquant ainsi un ralentissement
du fonctionnement du cerveau
https://www.francetvinfo.fr/sante/drogue-addictions/video-addiction-numerique-comment-les-ecrans-endommagent-le-cerveau_2566513.html Une stimulation du cerveau par une hormone du plaisir
Nir
Eyal travaillant dans l’industrie du jeu et de la publicité, auteur du livre intitulé Hooked (Accros) explique la méthode utilisée pour rendre les consommateurs accros. Il s’agit de « Réprimer les zones du
cerveau associées au jugement et à la raison et activer les zones associées à l’envie et au désir ». Et en effet, le temps passé devant les écrans augmente la sécrétion
de dopamine. Cette hormone surnommée hormone du plaisir, procure une sensation de bien-être. L’individu est donc incité à regarder de plus en plus pour ressentir cet effet. Cette sensation est retrouvée lorsque
vous faites défiler votre fil d’actualité Facebook à la recherche de nouveauté où lorsque vous recevez un « like » sur une de vos photos ou de vos publications. Ce qui a pour effet d’exciter
les zones de votre cerveau correspondant à l’activation de la récompense, stimulant ainsi la sécrétion de dopamine. Sur internet ou sur vos applications de smartphone et tablette, comment votre
temps est-il subtilisé en échange de votre argent? Dopamine labs Des neuroscientifiques expliquent le fonctionnement de ce système. Le but de toutes les plateformes internet ou de toutes les applications
créées est d’accrocher le plus longtemps possible les utilisateurs car c’est de cette manière qu’ils sont rétribués. Max Stossel membre de l’association Time Well Spent (Temps bien dépensé)
explique pourquoi l’accès à Facebook, Google … est gratuit. « Les individus ne sont pas les clients, ils sont les produits. Ce sont nos yeux et notre attention qui sont marchandés sur ces plateformes ». Les
applications revendent ensuite les informations aux publicitaires qui par la suite vous proposent des publicités ciblées concernant vos gouts. Je vous conseille cette vidéo très courte représentative
des méthodes utilisées par les réseaux sociaux. Témoignages d’anciens membres de Facebook Le cofondateur de Facebook Sean Parker en 2017 expliquait « Exploiter la vulnérabilité de la psychologie humaine »
L’ancien
vice-président de Facebook Chamath Palihapitiya disait « Les gratifications en boucle à base de dopamine que nous avons créé sont en train de détruire la société » Revenons-en à nos enfants… Comment y remédier ? Il a été démontré qu’il suffisait d’éloigner l’enfant pendant quelques semaines pour que les signes décrits
ci-dessus s’estompent. Au bout d’un mois, ils disparaissent. Il n’est donc jamais trop tard! Les 4 pas de Sabine Duflo Il s’agit de redonner à l’enfant le temps volé par
les écrans – Pas d’écran le matin (Ils captent l’attention et diminuent la concentration) – Pas d’écran pendant le repas (Moins de dialogue
– Ils empêchent le développement du langage et de l’expression) – Pas d’écran avant de s’endormir (La lumière bleue retarde l’entrée dans le sommeil)
–
Pas d’écran dans la chambre de l’enfant (Utilisation plus importante – Pas de contrôle) La règle
des 3-6-9-12 de Serge Tisseron – Pas d’écran avant 3 ans Période où l’enfant à besoin de découvrir le monde avec ses 5 sens. Il s’agit plutôt de favoriser les interactions avec son enfant, le jeu,
l’échange…etc. Attention aussi à ce que l’enfant ne soit pas perturbé par une télévision allumée, même s’il ne la regarde pas. Les flash lumineux et le fond sonore vont le capter et l’interrompre
constamment dans ses activités, indispensables à son développement. – Pas de jeu vidéo avant 6 ans, et un temps limité devant les écrans – Pas
d’accès à internet avant 9 ans Cependant il peut être intéressant d’expliquer à son enfant comment cela fonctionne – Ne pas laisser ses enfants seuls sur internet avant 12 ans
Être
avec ses enfants pour contrôler et éduquer sur les dangers d’internet afin qu’ils puissent se protéger. Au delà de 12 ans, vous pouvez laisser votre enfant seul devant internet grâce au contrôle parental et
en allant jeter un œil de temps en temps. Pour plus de détails et d’explication, vous pouvez consulter ce site
En conclusion Il ne faut pas oublier que les enfants fonctionnent par mimétisme. Il est évident que c’est à vous de montrer l’exemple. Il suffit simplement de fixer quelques règles; Pas de smartphone ou
de tablette au moment des repas, ne pas constamment consulter son téléphone devant ses enfants, choisir de regarder la télévision POUR un programme que vous avez sélectionné, couper le son lors des publicités…etc.
Aujourd’hui
les industriels mettent au point des produits pour des enfants de plus en plus petits; Des tablettes incassables et à écrans déformables sont à l’étude. Depuis 2014, les tablettes pour enfants sont numéro 1 des
ventes de jouet. Elles sont vendues comme étant éducatives ou pour éveiller l’enfant, mais il n’en est rien. Elles ne remplaceront jamais l’interaction que vous pouvez avoir avec vos enfants, lorsque vous lui parlez ou
que vous jouez avec lui. Cet article a été grandement inspiré de l’envoyé spécial de France 2 du jeudi 18 janvier 2018. Cliquez
ici pour y accéder dans son intégralité. WordPress: Précédent Le temps passe-t-il plus vite avec l’âge? Aujourd’hui, publication d’un
nouvel article pour vous sensibiliser à la surexposition des écrans, en particulier chez les tout-petits. Internet, smartphone, tablette…Comment ces technologies ont un impact sur le développement de vos enfants et quelles solutions
pour y remédier ? Bonne lecture ! Copyright © 2018 | Thème WordPress par MH Themes
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°UN COEUR UN COEUR DESSINÉ DANS LA MAIN POUR CALMER LA COLÈRE ET NE PLUS CRIER
Je partage avec vous une astuce simple
pour ne plus crier et calmer notre colère. Il s’agit de dessiner en début de journée
un petit coeur au creux de notre main (préférentiellement non-dominante). Ce coeur représente l’amour que nous portons à nos enfant mais
aussi à nous-même. Quand la colère monte, ouvrons totalement notre main en la tournant vers nous pour y découvrir ce coeur qui nous rappelle que
nous pouvons garder le contrôle et parler/agir sans violence car l’essentiel est le lien qui nous relie à nos enfants. Pour amplifier les effets, prenons
une longue inspiration qui rétablira encore mieux le calme en nous. Analyse
Il y a plusieurs rouages à cette astuce du coeur dans la main :
- La colère provoque des tensions dont une des conséquences est le poing fermé (réflexe automatique d’attaque/défense). Quand vous ouvrez doucement et consciemment votre
main et voyez le coeur, vous vous recentrez sur une émotion apaisante et régulatrice de stress (l’amour) tout en court-circuitant les réactions automatiques d’attaque/défense.
- La respiration augmente l’effet car elle régule le rythme cardiaque et favorise la pleine conscience.
- Utiliser
la main non-dominante (la gauche si vous êtes droitier) est un entrainement au self-control, comme des études l’ont démontré.
- Le fait
d’avoir tracé ce coeur en début de journée et d’y avoir « ancré » des images positives (des moments tendres avec vos enfants par exemple) a préparé votre cerveau à y avoir recours.
Vous avez ainsi « sous la main » un interrupteur anti-stress. Pratique !
PS : Les enfants peuvent eux-aussi tester
cette astuce. PS 2 : Pensez à redessiner le coeur s’il venait
à s’effacer.
°ARRÊTONS DE DIRE AUX PETITS T'ES PAS GENTIL"
Catherine Gueguen, pédiatre : "Arrêtons de dire aux petits "t'es pas gentil" !" Catherine Gueguen , pédiatre formée à l’haptonomie
et à la Communication
Non Violente (CNV), a fait découvrir au grand public, grâce à deux livres à la fois accessibles et savants *, les notions de bienveillance, d’empathie . Elle explique ici
ce que nous apprennent les dernières découvertes des neurosciences affectives et sociales sur le jeune enfant et le développement de son cerveau. Son souhait : que les professionnels de la petite enfance s’en inspirent pour
revoir leurs pratiquesLes Pros de la Petite Enfance : Pédiatre, vous vous êtes formée à l’haptonomie,
puis vous avez découvert les neurosciences affectives et sociales. Cela a été une révélation ? Catherine Gueguen :
Les neurosciences affectives et sociales m’ont donné, moi qui ai pratiqué la pédiatrie pendant plus de trente ans, une autre vision de l’enfant. Elles constituent un apport considérable dans la connaissance du développement
de l’être humain. Et surtout maintenant on sait exactement ce qu’il faudrait faire pour que l’enfant se développe bien. Ce n’est plus une question d’intuition, c’est le début de la connaissance scientifique.
Et que sait-on vraiment ? On sait
que le cerveau est beaucoup plus vulnérable et fragile que ce que l’on pensait. Et que durant les deux premières années de la vie d’un enfant, il est aussi très malléable. Tout ce qu’on vit s’imprime
très profondément dans le cerveau du bébé. Tout ce qu’on dit, tout ce qu’on fait est important. C’est pourquoi les métiers de la petite enfance sont si importants. Rien de ce que font les professionnels
n’est anodin. Ils jouent un rôle fondamental le développement de l’être humain.
Qu’est ce qui favorise un bon développement du cerveau ? A chaque fois qu’on a une attitude empathique (sentir et comprendre des émotions de l’autre) et bienveillante
(c’est être empathique), qu’on est soutenant, encourageant, cela permet au cerveau de se développer. Cela touche le cortex préfrontal qui nous permet d’être différent des grands singes, cela fait développer
des circuits cérébraux qui vont permettre à l’enfant, progressivement, de savoir gérer ses émotions.
C’est pour cela que vous pensez
que les professionnels doivent materner les bébés ? Materner, c’est prendre soin,
consoler, rassurer. Materner cela favorise la maturation du cortex préfrontal, la sécrétion d’hormones et molécules qui permettent le développement du cerveau. Et en plus cela génère la sécrétion
d’ocytocine. C’est un cercle vertueux. Oui les professionnelles de la petite enfance doivent materner. Cela fait du bien à tout le monde, à elles comme au bébé. Le bébé a besoin de se sentir aimé
et en sécurité. Intuitivement on le savait, aujourd’hui c’est confirmé par la science. Cela a été extraordinaire de constater que ce qui rendait les gens heureux est confirmé par la science !
Vous dites aussi que les professionnels doivent
comprendre que jusqu’à 3 ans un enfant ne peut pas gérer ses émotions et que ses comportements quels qu’ils soient ne peuvent être assimilés à des provocations ? Entre la naissance et trois ans un enfant ne peut pas gérer ses émotions. Ce pas qu’il ne veut pas ou ne sait pas. Il
ne peut pas. Le tout-petit ne provoque pas l’adulte. Son cerveau émotionnel et archaïque domine pendant la petite enfance. Donc l’enfant est dominé par ses émotions. Quand il est triste, il est immensément triste,
quand il a peur, ce sont d’immenses paniques, quand il est en colère ,il est très en colère. Les professionnels doivent savoir que l’enfant, quand il est en proie à des tempêtes émotionnelles, ne le fait
pas exprès. Il souffre. Si l’adulte ne le rassure pas, ne le console pas, ne l’apaise pas, le cerveau de l’enfant se stresse et secrète des molécules de stress toxiques pour le cerveau du tout-petit.
Comment consoler un enfant en pleine tourmente émotionnelle ? Tout enfant qui pleure doit être écouté et entendu. Pour le consoler, il faut d’abord savoir nommer les émotions de l’enfant. Et pour cela le professionnel doit être connecté avec ses propres
émotions. Ensuite, l’apaiser ne veut pas dire céder, mais expliquer avec des phrases courtes et simples. Cela demande énormément d’attention, de soins, de maternage. Les professionnels de la
petite enfance travaillent avec la période la plus compliquée pour l’adulte et pour l’enfant. C’est déstabilisant et difficile les trois premières années de la vie. C’est le cerveau émotionnel
qui est en action. Le cerveau supérieur va venir ensuite le réguler. Et plus les professionnels maternent, plus le cortex préfrontal va maturer (vers 5/6 ans).
Que
se passe- t il si on ne sait pas faire face aux émotions du tout petit ? Quand on ne répond
pas aux besoins émotionnels de l’enfant, cela génère du stress et des troubles du comportement (agitation, anxiété, déprime) et cela fabrique des adultes qui ne sauront jamais gérer leurs émotions.
Les neurosciences expliquent-elles vraiment tous les comportements des jeunes enfants ? Elles en expliquent beaucoup. Par exemple pourquoi vers un an-18 mois certains mordent ou tapent ? Cela s’explique par la domination du cerveau archaïque, celui que nous avons en commun avec les reptiles
et les poissons. Il est là pour notre survie. Quand les besoins fondamentaux d’un tout-petit ne sont pas satisfaits, quand il ne se sent pas en sécurité, son cerveau archaïque va se mettre en action : et le bébé
va taper, mordre, fuir ou attaquer. Le punir, lui dire qu’il est méchant c’est de la maltraitance
émotionnelle, je voudrais ne plus entendre « t’es méchant, t’es vilain, t’es pas gentil ! ». Toutes les paroles dévalorisantes, la critique, la honte, le rejet, l’isolation … c’est
trop fréquent tant chez les professionnels comme chez les parents d’ailleurs.
Un bébé en mord un autre … Que faut–il faire alors ? Certainement pas le punir ! Les punitions c’est terrible pour le cerveau des petits c’est le contraire de
ce qu’il faut faire. Des études récentes montrent que cela abîme la partie du cerveau qui nous rend pleinement humain ! Il faut que les professionnels prennent conscience qu’il ne faut vraiment plus utiliser ces mots-là.
Et cela s’apprend notamment par la Communication non violente (CNV). Un enfant mord, on ne le punit pas. On rappelle juste la règle : on ne mord pas. Punir ce serait montrer que seuls
les rapports de force permettent de régler les conflits.
Les neurosciences affectives et sociales, la CNV … tout ça ne fait pas partie des formations des professionnels
de la petite enfance, vous le regrettez ? Oui je pense que tous les pros devraient être formés
à la relation. Parce qu’avoir une attitude bienveillante cela permet de développer les compétences relationnelles et émotionnelles de l’enfant mais aussi de développer ses capacités intellectuelles.
Et même son sens moral. Par ailleurs, je pense que les adultes doivent se comporter comme de vrais adultes.
Comme ils veulent que les enfants se comportent. Grâce à ces neurones miroirs, l’enfant va imiter l’adulte qu’il a devant lui.
*Pour une enfance heureuse et Vivre heureux avec son enfant publiés chez Robert Laffont. Article rédigé par : Catherine Lelièvre
°Travailler sa voix en s'amusant
° LE CHANGE DEBOUT Publié
le 17 juin 2011 par Toutes en une Le
change debout mais qu'est ce que c'est, me dire vous? Le moment dit du "change" où l'adulte change la couche de l'enfant a lieu habituellement sur un plan horizontal,
sur lequel l'enfant est allongé! Cette position est confortable pour le bébé (qui ne fatigue pas et peut librement bouger les bras et les jambes) et pour l'adulte qui n'a pas à soutenir le poid de l'enfant et peut ainsi se
concentrer sur la relation et les soins. Lorsque l'enfant grandit, il devient de plus en plus autonome, maîtrise de mieux en mieux ses gestes et a de moins en
moins envie de se laisser "manipuler" physiquement. En s'assurant auparavant qu'il sache marcher et/ou du moins qu'il soit assez stable sur ses jambes, c'est alors le bon
moment pour lui proposer le change debout! Il est important de signifier oralement à l'enfant tout changement pour qu'il puisse le comprendre et l'anticiper et montrer
ou non son aprobation. L'adulte propose à l'enfant le change debout, et l'enfant dispose! Rien ne sert de forcer, tout vient à point à qui sait patienter! Lorsque adulte et enfant sont prêts, rien de plus simple! L'enfant peut commencer par défaire les scratchs ou pressions de sa couche, avec ou sans aide de l'adulte puis aller mettre sa couche au linge sale ou la poubelle selon qu'il porte une
couche lavable ou une couche jetable. L'adulte peut alors nettoyer les parties intimes de l'enfant. Un gant avec de l'eau, si pipi, suffit. Un peu de liniment en plus si
caca. Pour remettre la couche, il est nécessaire que l'adulte se mette à la hauteur de l'enfant, un genoux au sol et un autre plié, pour plus de stabilité.
Déplier ensuite la couche sur le genoux plié et laisser l'enfant venir poser ses fesses sur la couche. Il n'y a plus qu'à remonter la partie avant de la couche puis la partie arrière en fermant les scratchs ou les pressions.
Et voilà le tour est joué!!! En toute simplicité, le change est terminé et permet, à ce bébé devenu grand, de gagner en autonomie et
en liberté!!! Une petite précision qui me tient à coeur! Ce moment tout emprunt d'intimité et de pudeur que l'on nomme le change est parfois
mal nomé lorsque l'on peut entendre "tu viens, je vais te changer"!!! Non non non s'il vous plaît, l'enfant ne change pas, l'enfant reste le même, c'est la couche "usée/remplit" que l'on change, pour en remettre une "neuve/lavée"!
C'est le lot des objets d'être changé! Pas des enfants!!!
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Je vous invite à découvrir aujourd’hui un outil exceptionnel pour aider les enfants à lâcher-prise, surmonter les épreuves, se libérer
d’une émotion douloureuse, sortir d’un conflit,… il est également très efficace avec les adultes. Cet outil est l’oeuvre de
Jacques Martel. Il s’agit des bonshommes allumettes. Sophie Néel, dans son livre « la communication
positive parents-enfants » nous en propose une adaptation. Voici comment procéder quand il s’agit de lâcher prise avec une personne avec
laquelle on peut être en conflit ou trop attachée : - Invitez votre enfant à prendre une feuille et à se dessiner à gauche de celle-ci
(en bonhomme allumette avec le sourire) en notant son prénom et la première lettre de son nom de famille.
- Dites-lui de dessiner
(en bonhomme allumette avec le sourire aussi) l’autre personne concernée à droite de la feuille, en notant son prénom et la première lettre de son nom de famille.
- Proposez-lui de s’entourer de rayons de lumière.
- Suggérez-lui ensuite d’entourer
l’autre personne de rayons de lumière.
- Demandez-lui d’entourer les deux de lumière.
- Faites-le tracer
les lignes d’attachement conscients et inconscients qu’il a avec cette personne aux points indiqués en respectant les couleurs.
- Invitez-le à couper la feuille en sa moitié afin de rompre les liens
d’attachement.
- Proposez-lui de jeter les deux morceaux de feuille à la poubelle, après les avoir chiffonné ou déchirés.
° Méfions-nous des étiquettes.....
Je souhaitais tout d’abord citer Isabelle Filliozat à propos du thème
de cet article : les étiquettes. (via « il n’y a pas
de parent parfait« ) « Nous avons beau aimer nos enfants parce qu’ils sont nos enfants, quand ils nous exaspèrent, nous paraissent incompréhensibles ou tout bonnement insupportables, le risque de poser sur eux étiquettes et jugements est alors
élevé. Les définitions « il est lent », « il est hyperactif », « il est… »
constituent une tentative de lutte contre la blessure narcissique. C’est pour le parent une manière de faire porter à l’enfants la responsabilité de ce qui arrive et par là de s’en dégager. Hélas,
ce faisant, l’adulte éloigne l’enfant de son coeur. En outre, les enfants ont tendance à répondre aux définitions que nous leur donnons d’eux. Ils se conforment à nos attentes ! Leur cerveau interprète
nos commentaires et jugements comme des ordres. Si le parent le dit, c’est que c’est ainsi qu’il doit se comporter… » Et ceci a tendance, au fil du temps, à forger une identité…d’autant que les parents ne sont pas les seuls à étiqueter… « En changeant les étiquettes, on peut modifier les réalités ».
Dans l’intervention suivante, Tihamer Wertz, psychothérapeute, nous alerte
sur la contagion des étiquetages et autres stéréotypes dans l’éducation, la santé, la vie quotidienne….Il nous donne aussi des pistes pour stopper cette épidémie…et remettre en cause les
étiquettes qu’on nous a collées…
° Des paroles pour donner confiance aux enfants
Manquer de confiance en soi est un véritable handicap dans la vie. Cette relation d’amour et de respect de soi n’est ni compliqué à obtenir, ni difficile à entretenir.
Il est important de s’attacher à la faire naître dès l’enfance, pour qu’ensuite, jamais plus cette confiance ne le/la quitte. Des paroles pour
donner confiance aux enfants pour la vie entière Le pouvoir des mots, l’incidence de la parole vont pouvoir influencer positivement l’enfant. Cet amour que vous lui
transmettez avec des mots, se transformera en confiance durable et au combien bénéfique. L’enjeu est de taille, la méthode est simple, alors allons y ! Comment soigner ce terrible fléau que représente le manque de confiance
en soi ? « Terrible fléau » l’expression est forte je vous l’accorde, mais mesurée. Sans cette confiance que l’on ressent, des murs s’érigent dans notre vie, nous empêchant tous simplement
de nous réaliser. Nos qualités et aptitudes auront, sans la confiance, toutes les peines du monde à s’exprimer. Quel gâchis… Le mieux est d’acquérir cette confiance dès l’enfance. Dans son
livre « Fais-toi confiance » Isabelle Filliozat s’emploie à expliquer l’importances des paroles bienveillantes et positives. Le rôle des parents est capital et déterminant au bon développement
de l’enfant. Les paroles bienveillantes de ces adultes qui font référence pour lui, vont créer les conditions d’épanouissement nécessaire à leur enfant. Des phrases particulières avec
des mots choisis contribuent à instaurer une relation de confiance et de respect mutuelle. Ce sont les fondations indispensables pour ce jeune apprenti de la vie, qui vont lui permettre de s’installer durablement dans une relation de confiance,
avec lui même et avec les autres. Conditions préalables Une première condition évidente : ces paroles prononcées traduisent l’amour
indéfectible que vous lui portez. En effet, les paroles peuvent faire beaucoup, quand les mots traduises ce qui existe réellement. Isabelle Filliozat explique que ces paroles bienveillantes accompagnées des gestes et de l’attention
de parents aimants ont un impact réel et fort. La
seconde condition : vous ne transmettrez pas à vos enfants ce qui ne vaut pas pour vous. Il entend dans mes paroles l’amour et la confiance que je lui porte, il ressent dans mes actes le
respect et la confiance dont je fais preuve. C’est ainsi que l’impact positif est réel. Les paroles abstraites viennent confirmer cette réalité ressentie souvent difficile à verbaliser pour l’enfant. S’appliquer
à soi-même ces principes bienveillants est un préalable indispensable, qui permet aux adultes qui en ont besoin, de guérir l’enfant qui est en eux. Voici les paroles à mettre dans notre quotidien, conseillées
par Isabelle Filliozat, pour instaurer les bases de la confiance, favoriser l’affirmation de soi, croire en ses compétences et pouvoir faire confiance à l’autre :
Des paroles qui posent les bases de la confiance - Je t’aime
- Tu existes pour moi, tu es important pour moi
- Tu es le bienvenu
- Je te regarde
- Je te respecte
Les expressions
qui permettent l’affirmation de soi - Tu as le droit d’être différent
- Tu as le droit d’avoir un goût personnel
- Tu as le droit d’être en colère
- Tu as le droit d’avoir des désirs et des envies
- Tu as le droit d’avoir tes propres idées
- Tu as le droit de ne pas penser comme
tout le monde
- Tu es toi et je suis moi
Ces mots qui lui donnent confiance
en ses compétences - Tu es capable
- Tu peux le faire
- Tu as les ressources en toi pour réussir
- Tu as le droit d’échouer
- Il est important de se tromper pour apprendre
- Plus tu t’exerceras, plus tu seras compétent
- Tu as le droit de ne pas être parfait
- Tu
as le droit de faire des erreurs
- Tu as le droit d’échouer et de te relever, c’est
ainsi que tu as appris à marcher
Les phrases qui favorise la confiance relationnelle - Tu peux aller vers les autres
- Tout le monde partage les mêmes
émotions et les mêmes besoins
- Tu as droit à ta place
- Tu es utile par ta simple présence
- Tu as autant de valeur que les autres, toute vie humaine a une valeur
- Tu participes à l’humanité
- Tu as le droit de
demander, de donner, de recevoir ou refuser
Sources : Un ouvrage référence pour les parents : Fais-toi confiance… ou comment être à l’aise en toutes circonstances, Isabelle Filliozat, édition Guide. Prix constaté moins de 6 euros : n’hésitez-pas ! Partagez cet article sur les réseaux sociaux pour que
la bienveillance devienne la base de toute relation éducative: 12.5K Share7 30 12.6K
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